Et septembre - le septième mois de l'année comme son nom l'indique puisque l'année commence en mars - commence. Il peut commencer comme ça , sur le balcon (ci dessus) ou comme ça, avec Django : et c'est de la douceur, du bleu pas blues.
De la ballade ou balade. Fini l'écrasement des lumières. Finie l'attente d'on ne sait quoi, l'excitation bête : on n'attend plus, tout est là. L'impatience se tait. L'énervement s'arrête. Quelque chose s'achève et - n'en déplaise à certains - je dis : " enfin ! ". Pour moi, quelque chose commence. L'eau du Bassin va se clarifier. D'ailleurs, j'y file pour goûter ces clartés, cette transparence retrouvée.
Au retour, on se penchera sérieusement sur Bachelard et ses eaux rêveuses et sur Barthes qui craignait d'être un imposteur et qui fut traité d' "anguille ". Mais c'est très beau, les anguilles (et bon, en plus) ! Bref, on se remettra quand même au travail. Mais pour l'instant, partons retrouver l'étincelant, le frais, le vif ! (Photo Clarisse Mèneret)
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